Thermostatistique, information, subjectivité, pourquoi cette association est-elle si dérangeante?
Bien que la théorie de l’information résolve les incohérences (connues sous la forme d’énigmes) de l’approche traditionnelle de la thermostatistique, sa place dans la littérature correspondante n’est pas celle qu’elle mérite. Cela est interprété comme étant dû à des raisons épistémologiques plutôt que scientifiques: la subjectivité introduite en physique est perçue comme un problème. Cet article tente d’exposer et de clarifier où exactement réside cette subjectivité: dans la représentation de la réalité et l’inférence probabiliste. Deux aspects qui sont depuis longtemps intégrés à la pratique scientifique et qui ne devraient effrayer personne, mais qui avec la théorie de l’information deviennent explicites.
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